María José CARRASCO ZAVALA

Doctorante – AXE C

María José Carrasco Zavala est doctorante au sein du laboratoire EXPERICE à l’Université Paris 8. Après un master en Sciences Humaines et Sociales, mention Sciences de l’Éducation (Université Paris 8), elle réalise actuellement sa thèse sur la formation de soi-même à travers des problématiques de l’expérience et la corporéité.

Présentation de la thèse

Sujet : Corporéité, expérience et formation : voies pour penser le perfectionnement de soi-même

Cette thèse porte sur le rôle que joue le corps dans l’éducation. Par le biais des approches philosophiques, nous parcourrons les principaux fondements qui ont conduit à concevoir le corps comme une limite pour atteindre la sagesse et l’indépendance de la pensée. A partir des prémisses qui se dégagent de cette idée, nous verrons comment l’école, dans sa constante inquiétude pour l’instruction, a transformé le sujet en une entité abstraite détachée de son propre corps. Dans une deuxième partie, nous mènerons une analyse à propos des liens étroits que certains auteurs ont établis entre la formation, l’expérience et la corporéité. Une révision en profondeur de ces réflexions, nous permettra de construire une perspective particulière sur la corporéité dans ses rapports avec la connaissance, la transformation et le perfectionnement de soi-même.

Directrice ou directeur (s) de de la thèse : Didier Moreau

Publications

Articles dans de revue

Carrasco Zavala M-J., Lorca O. (2013). “Cuerpo y Educación: una perspectiva a partir de Merleau-Ponty”. Revista de Pedagogía Crítica Paulo Freire. Santiago, Chile.

Carrasco Zavala M-J (2008). “Ejercicio ciudadano y empoderamiento estudiantil. Una mirada el movimiento secundario de mayo del 2006”. Revista de Pedagogía Crítica Paulo Freire. Santiago, Chile.

Communications

Intersubjetividad, cuerpo y educación. Algunos aportes desde Merleau-Ponty. Segundo Congreso Internacional de la Sociedad Filosófica del Uruguay. Montevideo, 11-16 de agosto 2014.

Mémoire de Master

« Corporéité, intersubjectivité et éducation. Une approximation à partir de Merleau-Ponty »